Comment financer
aujourd’hui la production
de logements pour tous ?
Le constat est unanime : le logement est « en crise ». La chute de la production de logements neufs induite par une inflation élevée et un accès au crédit réduit, a enrayé le marché de la location. Les parcours résidentiels sont aujourd’hui figés, alors que 2,4 millions de ménages sont en attente d’un logement social et que de nombreux actifs ne peuvent habiter dans les territoires qu’ils font vivre en raison de prix prohibitifs.
Saisi de la question, le Conseil National de la Refondation (CNR) en charge de la thématique « Logement » a conclu à la nécessité de « favoriser l’accession à la propriété », « favoriser l’accès à la location », « soutenir la production et la rénovation de logements sociaux », « relancer la production de logements » et « amplifier la rénovation énergétique et thermique des logements du parc privé ».
Ces nécessités sont parfaitement appréhendées par les acteurs locaux en charge d’y répondre. Mais l’équation financière est complexe, entre des coûts de rénovation et de construction élevés, des enjeux de densification qui viennent par ailleurs renchérir les coûts d’opération lors d’intervention en renouvellement urbain, et des sources de financement multiples mais rarement suffisantes.
Dès lors, maîtrise des différents mécanismes de financement du logement, capacité d’innovation et agilité sont des conditions essentielles pour répondre aux enjeux du territoire dans un cadre économique et financier robuste.
Alors que de nouvelles réformes se profilent, notamment dans le domaine du logement social, nécessitant une maîtrise des détails complexes, nombreux sont les bailleurs sociaux, sociétés patrimoniales et collectivités qui réfléchissent en ce moment à l’ajustement de leur politique en matière de logement, de l’analyse stratégique à la mise en œuvre concrète.
En premier lieu, une réflexion stratégique amont sur les politiques foncières et immobilières apparaît essentielle pour confronter l’analyse territoriale des marchés immobiliers et des gisements fonciers disponibles d’une part, et d’autre part, l’ambition portée par la collectivité.
En second lieu, cette ambition recouvre des composantes variables (logement social, logement intermédiaire et libre, accession abordable) avec des modèles économiques différents. Il est donc utile d’étudier l’ensemble des sources de financement disponibles et des montages juridico-financiers envisageables afin de bâtir des plans de financement fiables, pertinents et adaptés aux besoins du territoire.
Enfin, cette mission ne peut aboutir sans la participation active et concertée de l’ensemble des acteurs de l’écosystème du logement (OPH, ESH, collectivités, aménageurs, promoteurs, …) afin de travailler de concert à l’atteinte des objectifs recherchés en tenant compte des contraintes des parties prenantes.
Forte de sa connaissance approfondie du secteur de l’aménagement, du foncier et du logement, de son expertise en ingénierie financière et contractuelle, de ses équipes de consultants chevronnés habitués à collaborer avec les collectivités (élus, services) ainsi qu’avec les acteurs publics et privés du logement (OPH, ESH, SEM patrimoniales, promoteurs-constructeurs, aménageurs, etc.), Sémaphores possède la capacité de créer les conditions favorables au dialogue et à la négociation entre toutes les parties prenantes et vous propose approche opérationnelle, en prise avec les réalités de votre territoire.
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Semaphores aux côtés de ses partenaires Grant Thornton et Fidal, est référencé UGAP pour les prestations de conseil en finances.
